God Behind Bars : 265 détenues se sont fait baptiser dans une prison de Denver

God Behind Bars est un service d’aumônerie en prison qui s’associe à des églises à travers les Etats-Unis pour transformer la vie des détenus et de leurs familles. L’organisation a révélé que 265 détenues se sont fait récemment baptiser dans un établissement correctionnel réservé aux femmes à Denver. 

« En invitant Dieu en prison et en montrant son amour de manière tangible, God Behind Bars restaure des vies, renforce la foi, combat les dépendances, reconnecte les familles et donne à des milliers de détenus de l’espoir pour l’avenir », indique le site internet de God Behind Bars.

Ce service d’aumônerie derrière les barreaux a été lancé en 2009. Jake Bodine, fondateur et PDG de l’organisation explique avoir fait un premier essai de culte dans un établissement correctionnel du Nevada. Il raconte que les détenus ont commencé à « affluer dans la pièce » et se sont mis à chanter et à danser, touchés par l’amour de Dieu.

« Notre équipe s’est mise à rêver, et si nous pouvions reproduire cela dans 5 000 prisons à travers le monde », poursuit M.Bodine.

Aujourd’hui, ils ont des bases aux quatre coins des Etats-Unis. « Nous avons pu nous lancer dans des prisons en Alaska, au Colorado, en Floride et au Texas », indique le fondateur de l’organisation.

Il y a deux jours, God Behind Bars a partagé une publication sur Instagram qui rapporte le baptême de 265 détenues dans une prison pour femmes de Denver.

 

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« 265 détenues BAPTISÉES 🙌🏽🙌🏽 dans notre établissement pénitentiaire pour femmes de Denver Beaucoup de femmes ont donné leur vie à Jésus et ont été baptisées sur place ! REVEIL DERRIÈRE LES BARREAUX !! »

« Je me sentais entourée de ma famille et c’est ce qui a rendu l’expérience importante et significative », a confié une des détenues après son baptême.

God Behind Bars propose également des programmes pour aider les détenus à se former, à trouver un emploi et un logement, leur permettant ainsi d’avoir des perspectives d’avenir une fois leur peine de prison purgée.

Camille Westphal Perrier