Dimanche 11 avril, sept personnes dont une religieuses et un prêtre français ont été enlevés à Haïti à La Croix-des-Bouquets par un gang armé qui réclame une rançon d’un million de dollars.
Les évêques du Ghana réagissent face au meurtre d’un jeune écolier de 10 ans dans le cadre de pratiques rituelles.
S’il y a bien un sujet qui transcende les clivages politiques et idéologiques, c’est la langue française. Il existe un large consensus concernant l’importance d’en connaître les formes correctes.
« Vivons, prions, adorons, servons, bâtissons, dans la confiance que Christ règne, qu’il aura son Église et qu’elle sera somptueuse. »
Les cinq étudiants libérés avaient été enlevés le 11 mars au Collège fédéral de mécanisation forestière dans l’État de Kaduna.
Faute de temps, jeudi 8 avril les députés n’ont pas adopté en séance la proposition de loi donnant « droit à une fin de vie libre et choisie ».
Le prêtre et un ecclésiastique de l’église Sainte-Eugène Sainte-Cécile sont accusés de « mise en danger délibéré de la vie d’autrui », « non port du masque » et « rassemblement de plus de six personnes sans respect des gestes barrières ».
Fermeture de l’église d’Edmonton : les 18 inspections faites sur le site depuis le 10 juillet 2020 ont toutes relevé des violations.
Vous le savez sans doute, si vous suivez l’actualité chrétienne : un projet de loi est en cours d’étude pour chercher à freiner des expressions religieuses qui feraient preuve de « séparatisme religieux ». Qu’en penser ? Comment agir ?
« Comment dites-vous qu’au Pakistan, les minorités jouissent d’une liberté totale, lorsque nos filles ne sont pas en sécurité, qu’elles sont kidnappées, forcées de se marier et converties pour satisfaire de mauvais désirs ? »
