Aujourd’hui 18 décembre est célébrée la Journée Internationale des Migrants. C’est l’occasion, dans le monde entier, de réaffirmer et de promouvoir les droits des migrants.
Est-ce que dorénavant tout prêtre, tout pasteur, tout chrétien qui prêchera, écrira ou affirmera qu’il croit en ces textes de la Bible sera condamné à de fortes amendes et qui sait bientôt à la prison ?
L’agence d’information vaticane Fides rapporte que les djihadistes de l’Etat islamique (EI) ont remis en liberté, le 9 décembre 2015, 25 chrétiens assyriens.
Le pasteur canadien Hyeon Soo Lim, âgé de 60 ans, a été condamné par la Cour Suprême de Corée du Nord aux travaux forcés à vie.
En une seule journée, vendredi 12 décembre, plus de 200 personnes ont été tuées par les forces de l’ordre : policiers et militaires. La majorité étant des jeunes vivants dans des quartiers de Bujumbura.
Sur la base de l’Ancien Testament les châtiments corporels ont souvent été perçus de manière utile et positive dans les foyers chrétiens mais est-ce correct d’emprunter à l’Ancien Testament un modèle éducatif (Pr 23:13-14) ?
Les représentations de Jésus ont marqué notre inconscient : Jésus grand, mince et pâle, aux cheveux lisses, mi-longs et bruns. Des spécialistes de l’anthropologie médico-légale ont mis à mal cette représentation collective.
En intégrant la dimension spirituelle dans le développement durable, nous pouvons voir sous un jour positif le champ des possibles de l’humanité.
Croyez-vous que les djihadistes qui massacrent les chrétiens dans le monde connaissent nos différentes dénominations ? Une seule chose est importante pour eux : nous sommes le peuple du Christ !
N’avons-nous pas une responsabilité en tant que citoyens, en tant qu’habitants de notre planète Terre ? Sommes-nous ou serons-nous ceux qui peuvent changer le monde de demain ?
