La foi du champion de MMA Benoît Saint-Denis : une force intérieure inébranlable
Benoît Saint-Denis, combattant français de MMA, ne cache pas l'importance de sa foi chrétienne dans sa carrière sportive. À l'approche de son retour dans l'octogone prévu le 10 mai prochain à l'UFC 315 à Montréal, l'athlète a partagé dans une vidéo Instagram les ressorts intérieurs qui l'aident à surmonter les épreuves.
Le 4 mai dernier, Benoît Saint-Denis a publié une vidéo sur son compte Instagram dans laquelle l’athlète de 29 ans témoigne de la place centrale que prend sa foi dans sa vie et dans ses performances sportives. Cette vidéo était également l’occasion pour le combattant surnommé "God of War" d'annoncer son arrivée à Montréal pour l'UFC 315 qui se tiendra le 10 mai.
"C’est dans ces instants-là que je découvre une force plus grande que moi", déclare-t-il dans cette vidéo, faisant référence aux moments les plus éprouvants de ses combats. "Croire en ce qui est beau, plus grand que soi, croire en la vérité éternelle, voilà ce qui m’incarne et me permet de me relever après chaque chute", poursuit le sportif.
"La foi est cette flamme puissante, un guide intérieur qui me pousse à avancer".
Le natif de Nîmes, ancien membre des forces spéciales, n’a jamais caché son attachement à la foi chrétienne. En avril 2023, il s'était notammment confié sur ses convictions dans les colonnes d'Aleteïa.
"Je suis chrétien, donc j’essaie forcément de me rapprocher du Christ. Je prie régulièrement de mon côté, j'aime aller à l’église pour prier juste avant une échéance par exemple. En parallèle, il y a la vie chrétienne quotidienne qui permet de suivre la vie du Christ au rythme des saisons, des messes du dimanche… ", avait-il notamment déclaré lors de cet entretien.
En mars dernier, à l’occasion du début du Carême, il avait également publié un message d'encouragement sur son compte Instagram : "Je te souhaite de trouver la paix intérieure et de te rapprocher de ce qui compte vraiment. Que ce temps de prière et réflexion t'apporte sérénité et force", avait-il écrit.
Camille Westphal Perrier
